Implication des facteurs génétiques dans la pathophysiologie du somnambulisme
Simon Fournier, étudiant à la maîtrise, Département de neurosciences, Université de Montréal, Centre d’études avancées en médecine du sommeil (CÉAMS), CIUSSS du Nord-de-l’Île-de-Montréal
Après avoir obtenu un baccalauréat en Neurosciences de l’Université de Montréal, j’ai oeuvré comme assistant de recherche au laboratoire du Dr. Simon Warby (Psychiatrie, Université de Montréal) au Centre d’Études Avancées en Médecine du Sommeil (CÉAMS) au sein duquel j’avais précédemment fait un stage de 15 semaines . J’ai travaillé sur des projets s’intéressant aux facteurs génétiques impliqués dans les troubles du sommeil tels que le somnambulisme, l’apnée et l’insomnie. Je poursuis actuellement mes recherches en tant qu’étudiant à la maîtrise sous la supervision du Dr. Alex Desautels (Neurosciences, Université de Montréal) et Dre. Martine Tétreault (Neurosciences, Université de Montréal), j’avais débuté sous la supervision du Dr. Warby. Dans mon projet de recherche, nous étudions les facteurs génétiques ainsi que les modes de transmission impliqués dans le somnambulisme. Il est connu depuis des décennies qu’il y a une composante héréditaire à l’étiologie du somnambulisme, toutefois il y a eu très peu d’études moléculaires et il n’y a pas de consensus quant au mode de transmission dans les familles.