Mystères du sommeil dans La Presse : « Dans la tête des insomniaques » et « J’ai perdu la recette pour dormir ».

Nos chercheur.e.s Alex Desautels et Marie-Hélène Pennestri ainsi que notre étudiante Cloé Blanchette Carrière, sous la supervision du chercheur Antonio Zadra, partagent leurs expertises sur le sommeil dans les articles « Dans la tête des insomniaques » et « J’ai perdu la recette pour dormir » de La Presse.

Lire les deux articles de La Presse.

« Il existe des bases génétiques à l’insomnie, qui ne sont toutefois pas encore bien identifiées, indique le neurologue et chercheur Alex Desautels. « Il y a souvent des histoires familiales d’insomnie », souligne-t-il. Certaines personnes, dit-il, ont plus de difficulté à désengager les structures d’éveil. Le fait d’être une femme augmente aussi le risque de développer de l’insomnie. »

« Les participants avaient tous des attentes réalistes, souligne Cloé Blanchette-Carrière, doctorante en psychologie clinique, et c’est une bonne chose. Vouloir être un dormeur parfait, ça met trop de pression… et c’est illusoire. « Tout le monde a de mauvaises nuits », rappelle-t-elle. »

« Le sommeil est très fragile à ce qui se passe dans notre environnement », souligne Marie-Hélène Pennestri, psychologue et chercheuse en sommeil. Il existe des environnements moins propices au sommeil, rappelle Mme Pennestri, qui pense au bruit, à la lumière, ou encore à un contexte de violence à la maison. »